QUI SOMMES-NOUS ?

Bienvenue sur Le Mycélium, votre nouveau média citoyen romand, spécifiquement consacré à l’actualité écologique et aux luttes sociales ! Géré par une association à but idéal et vivant exclusivement de la générosité de ses lecteurs, il est disponible en accès libre et jouit d’une totale liberté.

Le Mycélium, c’est d’abord un constat cinglant : réchauffement climatique ; destruction de la biodiversité ; épuisement des ressources naturelles, l’activité humaine est à l’origine d’un effondrement écologique qui met désormais en péril la survie de l’Humanité, et même de l’ensemble de la vie sur Terre. Pourtant, malgré un consensus scientifique quasi unanime, malgré la multiplication des revendications politiques et la pression de mouvements sociaux d’ampleur, aucune rupture écologique sérieuse n’est à l’ordre du jour ; les nations du monde entier – au premier rang desquelles les États occidentaux, responsables historiques de la situation – font depuis des décennies le choix du déni.

Cette passivité, Le Mycélium en distingue les raisons sous-jacentes. Si l’origine anthropique du désastre environnemental ne fait aucun doute, c’est bien d’abord le capitalisme, en tant que rapport social dominant à l’échelle mondial, qui détermine aujourd’hui l’essentiel des pratiques humaines écologiquement néfastes. Un mode de production dont la logique inhérente consiste en la recherche d’une croissance infinie des profits et de la richesse matérielle d’une minorité, et qui, par le productivisme concurrentiel qu’il implique, s’avère la cause principale des destructions écologiques et humaines en cours (émissions fossiles, déforestation, surexploitation des écosystèmes, pollution, précarité, chômage, maladies etc.). On comprend dès lors mieux l’inaction de nos classes dirigeantes, en tant qu’elles constituent les principales profiteuses du système en place. Passés les discours larmoyants et le greenwashing de circonstance, ces « élites » bourgeoises, détentrices de l’autorité politique et des moyens de production, font obstacles à toute transformation de l’ordre établi, afin de sauvegarder leurs intérêts économiques et le pouvoir de domination sociale qui en découle. De ce fait, elles s’obstinent coûte que coûte dans le business-as-usual écocidaire (donc anthropocidaire) et précipitent la catastrophe au détriment du bien commun.

Dans ce contexte, Le Mycélium considère que les principaux médias suisses et étrangers, bien loin de l’impartialité qu’ils revendiquent, jouent en réalité un rôle fondamental dans l’hégémonie néolibérale au sein de nos sociétés. En relayant avec complaisance l’idéologie politique, économique et culturelle dominante, en lui réservant le monopole du débat public et en l’absolvant de toute critique radicale, ils offrent une couverture superficielle de l’urgence écologique et sociale en cours, et tiennent une grande part de responsabilité dans le statut quo actuel.

Le Mycélium, c’est donc avant tout le choix de l’engagement. Prenant acte de la capitulation historique des forces progressistes, et de son impact sur le sort politique réservé à l’écologie et aux problèmes sociaux pendant des décennies, l’objectif est désormais de reconquérir le terrain perdu. Grâce à une information exhaustive et franche, Le Mycélium souhaite sensibiliser la population à la crise environnementale, en rendant compte de la gravité des menaces que celle-ci fait peser sur notre espèce, ainsi que des enjeux transversaux qu’elle soulève. Par la vulgarisation des constats scientifiques les plus récents et en offrant un espace bienveillant pour la parole d’experts, il entend se faire « L’ Écho du Vivant » et donner aux lecteurs les outils adéquats pour comprendre la complexité de la situation qui nous échoit. Parce qu’il considère que l’écologie contemporaine ne peut plus se cantonner à des bilans scientifiques, et qu’elle est indissociable des questions démocratiques et sociales, Le Mycélium propose en outre une lecture politique conséquente des déséquilibres actuels, en mettant en exergue la nécessité d’organiser collectivement des nouveaux rapports sociaux. À cet égard, il fait la part belle aux opinions critiques et aux courants intellectuels dissidents, en donnant notamment la voix à celles et ceux qui pensent et débattent des conditions de possibilité d’une société alternative.

Média « tout en ligne », Le Mycélium accomplit son travail au moyen de contenus et de formats variés, qui allient pédagogie et modernité, parlant aussi bien à la jeunesse qu’à l’expérience. Contrastant avec le paysage médiatique officiel, il exerce son activité sans concessions, en toute indépendance et s’en remet entièrement au soutien de son public pour s’épanouir.

Se réclamant du « journalisme intégral » défendu par Gramsci, Le Mycélium s’engage en faveur d’une écologie anticapitaliste, féministe et décoloniale, sans jamais délaisser son esprit critique et la déontologie requise à tout travail journalistique sérieux. Contre l’idéologie mortifère et violente prônée par la doxa, il se situe du côté des forces vives qui lui résistent et défend des valeurs d’émancipation, d’égalité, de solidarité, de justice et de liberté. Par son travail, il espère ainsi humblement participer à l’émergence d’un bloc uni autour d’un projet de refondation radicale de la société, un réseau citoyen d’alliances et de combat… Un mycélium révolutionnaire au service des humains et de la nature !

 

À PROPOS

Le Mycélium est un média citoyen romand indépendant, spécifiquement consacré à l’actualité écologique et aux luttes sociales suisses et internationales. Géré par une association à but idéal, il est disponible en accès libre, sans publicité et financé par la générosité de ses lecteurs. « L’ Écho du Vivant » !
EN SAVOIR PLUS

À PROPOS

Le Mycélium est un média citoyen romand indépendant, spécifiquement consacré à l’actualité écologique et aux luttes sociales suisses et internationales. Géré par une association à but idéal, il est disponible en accès libre, sans publicité et financé par la générosité de ses lecteurs. « L’ Écho du Vivant » !
EN SAVOIR PLUS

CONTACT

FAQ

Retour en haut